

Dans les six thématiques proposées comme premier programme de travail, à part les points 3 ("Intégrer les normes internationales sur la responsabilité des entreprises et autres organisations vis-à-vis de leurs fournisseurs et de leur sphère d'influence dans les normes françaises"), le point 4 ("Faire de l'investissement un levier de pénétration de la RSE") et en partie le point 5 ("Améliorer la transparence des entreprises et autres organisations sur leurs orientations stratégiques non financières porteuses d'impacts sur leurs parties prenantes"), les autres sujets ("Améliorer la compétitivité des entreprises" ; "Améliorer la gouvernance de la RSE dans les entreprises et autres organisations" ; "Construire une équipe France-RSE unie et active, particulièrement, mais pas seulement, à l'international") ne nous paraissent pas relever des attributions de la Plateforme. Nous regrettons qu'une place plus importante ne soit faite à la nécessité de conformer la législation française aux normes internationales en matière de RSE, et notamment aux Principes directeurs adoptés en juin 2011 par les Nations unies. En particulier, le point 1 ("Améliorer la compétitivité des entreprises") pourrait faire référence à la promotion d'un nouveau modèle économique de transition, comme c'est, d'ailleurs, le cas du rapport du CESE adopté le 26 juin 2013 à une très large majorité.